A la demande de Jacinthe j’ai remis la possibilité de laisser un commentaire aux personnes n’ayant pas de compte Google. Donc les “anonymes” (comme Blogger les appelle) peuvent de nouveau poster un commentaire ==> et moi de les supprimer s’ils sont ouvertement agressifs (parce que, croyez-moi, croyez-moi pas, mais généralement la bassesse c’est plus simple quand on peut ne pas l’assumer :-D).
As Jacinthe asked me to allow people who don’t have Google accounts to comment this blog, “Anonymous” (as Blogger call them) are now welcome !
 
 
 
Au fait, vous ai-je déjà dit que je suis passionnée de déguisements ? Parce que je critique ceux d’aujourd’hui, mais je porte aux nues ceux qui ont plus de 90 ans ! Je collectionne donc les peintures, gravures, photos de gens déguisés de la renaissance aux années 20. Il faudra que je vous en parle un jour !
By the way, have I told you that I was fond of fancy dresses ? I criticize costumes that are not very “period costumes” but I love them when they are more than 90 years old ! I collect paintings, engravings, pictures of people disguised from 16th century to 1920’s. I’ll have to share stuff with you some day !
 
Et oui : la robe de marquise toute plissée et en lamé, vous en aviez rêvé ? les années 20 l’ont fait !
The marchioness’ dress all wrinkled and made of lamé… (20’s)

6 comments

  1. Les auteurs de comptes rendus anonymes

    Un auteur de comptes rendus anonyme est quel-qu’un qui ne veut pas défendre ce qu’il relate au monde ou ce qu’il tait sur les autres et leur travail aussi ne donne-t-il pas son nom.

    Un auteur de comptes rendus anonyme, il faut le considérer a priori comme un escroc qui a pour but de nous duper. Conscients de cela, les auteurs de comptes rendus de journaux littéraires honnêtes signent tous de leur nom.

    Lorsqu’il s’agit d’attaquer, M. l’Anonyme est tout simplement M. Fripon.

    C’est pourquoi il faudrait avant tout que cette enseigne de toute escroquerie littéraire, l’anonymat, disparaisse. Les journaux littéraires l’introduisirent en prétextant qu’il protégeait l’auteur sincère de comptes rendus, celui qui avertissait le public, contre l’animosité de l’auteur et de ses protecteurs. Cependant, pour un cas de cette sorte il en est bien cent où il ne sert qu’à éviter toute responsabilité à celui qui ne peut défendre ce qu’il dit, ou même à dissimuler la honte de celui qui est assez vénal et vil pour, contre un pourboire, recommander au public un mauvais livre. Souvent, il sert uniquement à cacher l’obscurité, l’insignifiance et l’incompétence de ceux qui portent un jugement. Incroyable, l’effronterie qui s’empare de ce type, les escroqueries littéraires devant lesquelles ils ne reculent pas lorsqu’ils se sentent en sécurité à l’ombre de l’anonymat. –De même qu’il existe des médecines universelles, de même ce qui suit est une anticritique universelle contre tous les comptes rendus anonymes ; peu importe qu’ils aient loué ce qui est mauvais ou blâmé ce qui est bon :
    « Canaille, donne ton nom ! Car s’attaquer masqué et camouflé à des gens qui se promènent à visage découvert, c’est quelque chose que ne fait pas un homme honnête : c’est bon pour les mauvais garçons et les fripons. » – Donc : « Canaille, donne ton nom ! […] Tolérerait-on qu’un homme masqué harangue le peuple ou veuille prendre la parole devant une assemblée quelle qu’elle soit? Et surtout s’il s’attaquait à d’autres personnes et les accablait de blâmes? Ses pas vers la sortie ne seraient-ils pas accélérés aussitôt par des coups de pied au derrière venus d’ailleurs?

    Celui qui écrit et polémique anonymement risque eo ipso d’être soupçonné de vouloir tromper le public ou de s’en prendre à l’honneur d’autres gens sans s’exposer lui-même. C’est pourquoi toute allusion à un auteur de comptes rendus anonyme, même faite en passant et sans volonté de blâmer, ne devrait se faire qu’à travers des épithètes telles que «le lâche gredin anonyme ici et là », ou « le fripon anonyme masqué dans telle revue », etc. C’est là vraiment le ton convenable et approprié pour parler de tels gaillards, afin de leur faire perdre le goût du métier.

    Il est une impertinence particulièrement ridicule propre à ces critiques anonymes : ils parlent comme les rois, en disant nous; alors qu’ils devraient parler non seulement au singulier, mais au diminutif, oui, à l’humilitif, par exemple « ma misérable personne, ma nullité, ma lâche finasserie, mon incompétence camouflée, ma pauvre crapulerie », etc. C’est ainsi qu’il convient de parler à ces vauriens masqués, ces reptiles dont les sifflements sortent du trou sombre d’une « feuille de chou littéraire », aux agissements desquels il faut enfin mettre un terme.

    Moi, pour ma part, je préférerais diriger un casino ou un bordel plutôt qu’une telle tanière de critiques anonymes.

  2. Je plussoie a la diatribe sur les anonymes…
    Fanny si l'occasion m'en est donnée j'ai une très vieille carte postale d'une jeune femme déguisée en Anne de Bretagne en amazone, cela sera un plaisir de vous en faire cadeau

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